viernes, marzo 14, 2008

AMADEUS


AMADEUS
Milos Forman

Le film commence avec Salieri en implorant Mozart, et il dit : je, moi-même t’est tué...pitié pour ton assessin. Ensuite, il se coupe la gorge, le cou avec le son de la 25(vingt-cinquième) sinfonie ; curieusement le primière mouvement de cette sinfonie est une imitation inverse de la neuvième de Beethoven. Mozart dira dans le film que le réel de l’art, son art se base dans une interpretation inverse du langage ; et totut le temps, aussi, nous voyons un humeur, o un enjouement très étranger mais quelque aussi trés agréable, je pense.
Ensuite, on portent Salireri au l`hôpital de la médiocrité, comme le même Salieri dit de tout le monde á general et de lui-même en comparation avec Mozart. Il y a ici un prêtre qui dit à Salieri que tous les hommes sont égals avant dieu, et il ne veut pas laisser tout seule à Salieri.
Salieri se montre prise de la superstition en tout momment ; il croyait que dieu avait tué son père pour qu’il pouvait aller à la Cour comme musicien. Alors, il commence rememorer sa vie et dans ce point s’initie le film.
Nous voyons premiére une fête royal : avec tous les courtisiens, les évêques, et le Papa, qui goûte d’écouter interpreter le piano organe Mozart. Salieri va connêtre Mozart ; el croyait que quelqu’un qui à neuf ans avait déjà composé des sinfonies et à douze ans des operas on devait de marquer à premièr vue. Mais Mozart n’est pas comme il espère. Maintenant et jusqu’à le fin nous voyons un jeu de apparences-verités ; Mozart est dans une position complètement diferente, inverse, de Salieri : le premièr est dans, ou dedans je dirait, la apparence(dans la réalité) mais sans cacher, ou sans contenir aussi, la verité, lo réel vrai ; Mozart dit que tout est à l’envers ; c’est à dire : la verité cache la apparence, ou elle se cache dans, comme dedans, la apparence ; la verité est un jeu trés exact avec les apparences, avec l’espace ; il voyait ses oeuvres d’un coup ; pour ça,quand le Roi lui dit que une de ses oeuvres a trop de notes musicals, il dit que l’oeuvre a les notes justes et aucune plus ; c’est la vision du espace de l’oeuvre d’art de Mozart : comme une jeu mais tout exact. Par son naturalité il ne necessite pas écouter ou interpreter ses oeuvres, parce qu’il les vois d’un coup, dans l’espace mais no dans le temps ; il retient, garde l’oeuvre tout entièrement et il est comme s’il composait de memoire, mais il n’exerce pas le souvenir, par ça il vois l’oeuvre d’un coup. Et Salieri veux vivre dans le vrai réel au dénué, sans dévelopement de l’apparence ; cependant il va utilicer l’apparence, avec une masque en noir qui, préalablement avait porté le père de Mozart dans une fête, pour initier une rituel contre Mozart.
Mozart s’était moqué de les musiciens italiens, et de l’opera italienne, aussi du propre Salieri, en disant qu’ils étaient sopranos hommasses o viragos en criant et paires de gras, gros, qui mettent les oeils en blanc.
Dans un rencontre Mozart et le Roi d’Autriche Salieri joue une pièce è l’organe ; l’auditeur reste imprissionné quand Mozart dit qu’il peut repeter la pièce de Salieri sans la partition, et note par note ; il dit que la melodie demeure dans sa tête intact. Ensuite, il l’interprete et même il la décore.
Mozart travaille sans corretions; cec irritait profondément Salieri. Pour Salieri Mozart était un miracle ; par Mozart parle Dieu, et son travaille devait se poser comme quelque chose qui apparttenait à la commuanuté des mortels ; mais ici, Salieri cache avec un principe primordial pour l’art, pour la prodution artistique, et il est l’autonomie esthétique, du art et du artiste. Alors, Salieri s’ennuie avec Dieu et il veut le tuer ; il veut, en realité, tuer Mozart pour se venger de Dieu parce que ne lui a pas donné le don, à lui, un homme trés morale et vrai.
Quand Mozart imite Salieri, dans un fête nocturne, d’une manière obscène, Salieri fait des plans de vengance ; il commence maquiner un rituel expiatoire. Il commerce une femme de chambre pour qu’elle prete ses services chez Mozart comme un cadeaux d’un admirateur de Mozart ; et comme Mozart a des problèmes d’ èconomie il accepte. Cettte femme de chambre expie Mozart et découvre qu’il est en écriant las bodas de fígaro, interdits expréssement par le Roi parce qu’elle est une opéra qui fomente l’haine et l’aversion entre classes. Mozart explique que l’oeuvre ne vas pas de lutte de classes, mais du amour ; et un jeu de personnages qui entretient une comedie et vingt minutes de la musique sans recitatifs ; il n’y a pas de paroles ; si nous faisons que parle beacoup de gens dans l’opera, on n’entend rien ; cependant si ça on le traduit comme un jeu d’instrumentation musical tout ça s’éclait ; avec de ls musique il peut faire que vingt pensonnes parlent au même temps, et sans la necesitté d’appeler à personnages de légendes et de dieux eternels.
Mozaart attends(attendre) les convaincre en explicant une scène : il apparait un servant â genoux en mesureant l’espace, mais non par opression mais parce que il veut savoir si son lit trouve place ; Salieri savait que l’oeuvre il était un succés, mais le Roi s’ennuiait.
Salieri tire avantage de Mozart quand son père meurt ; le fantôme du père s’emparer de Mozart et s’en servant de la masque de double visage : de la comedie et de la tragedie, Salieri visite Mozart et le charge une oeuvre : un requiem pour un funérailles ; à cause de que Salieri avait retiré du théatre ses oeuvres, Mozart accepte.
Mozart se voit dans l’obligation d’écrire bodebiles pour théatre populaires et il continut en travaillant dans le requiem, mais sa bon santé est malade à cause d’alcool et des medicaments. Salieri, en secret, assiste aux representation des oeuvres de Mozart, et jouit avec les representations et avec le souffrance de Mozart. Dans la diretion d’un oeuvre Mozart s’évanouit et Salieri le porte chez-lui et une fois là, il force Mozart travailler dans le requiem ; arrive sa épouse et Mozart meurt ; il est enterré dans une fose commun avec chaux vive.